MERCI AUX 63 CONTRIBUTEURS QUI ONT RENDU CE PROJET POSSIBLE ! JE VOUS ÉCRIS PERSONNELLEMENT TRÈS VITE ! L'AVENTURE STÉRÉO CONTINUE… GRÂCE À VOUS !

Voici AMOUREUX, le morceau le plus dance floor du futur EP, revisité, version guitare et voix.

Après STÉRÉO, version acoustique, (re) découvrez EN VOYAGE, version live. Plus qu'une quarantaine de jours pour parvenir au bout de la collecte et pour l'instant, malheureusement, nous en sommes loin. Pourtant, pour participer, pas la peine d'être blindé, parce que, ce n'est pas le montant de la contrepartie qui compte mais le nombre de participants. Petit calcul rapide : 1473 visiteurs sont venus à ce jour écouter STÉRÉO. Multiplions 1473 par 5 euros… Nous obtenons 7 365 euros, pratiquement le double de la somme demandée ! Y parvenir est donc de l'ordre du possible… Alors, si vous aimez ma musique, une seule chose à faire, partager sans modération et invitez à participer, dès 5 euros ! Parce que 5 euros, quoi qu'on en pense, pour moi, pour les musiciens, pour notre projet, au final, ça peut finir par représenter beaucoup… L'AVENTURE STÉRÉO CONTINUE…

40 jours de collecte sont déjà passés. Reste deux mois, deux petits mois, pour attendre 4400 euros et réaliser ce premier EP. Nous comptons sur vous. En attendant, voici, en vidéo, la captation de Stéréo, version acoustique… L'aventure STÉRÉO continue.

PARCE QU'AUCUN PROJET NE SE CONSTRUIT JAMAIS SEUL, c’est au tour d’Édith Rodeghiero de vous être présentée… Édith, c'est la photographe du groupe. C’est elle qui a eu la lourde tache de me photographier, moi qui redoute tant la moindre photo. Et pourtant, devinez ce qui arriva ? Avec sa douceur, sa bienveillance, ses yeux bleus mutins et son grand sourire confiant, Édith a parfaitement réussi à me mettre à l’aise… Et j’aime beaucoup le résultat. 

Édith, quel est ton parcours jusqu’ici ? J’ai d’abord travaillé la photographie d'architecture. J’aime être seule devant un bâtiment imaginé par un autre et tenter de comprendre l’idée qui a fait naître ce bâtiment, cerner le caractère de l’édifice, sa spécificité. Pour m’aider, j’ai la lumière avec moi. C’est elle qui permet de mettre en relief et de mettre à jour la subtilité d’une architecture. C’est un travail d’observation qui correspond bien à ce que je suis : une contemplative.

Tes autres projets ? Je travaille aussi le portrait parce que j'aime observer, regarder, les gens. Au moment où je capte leur être avec mon appareil photo, je les aime intensément. Parallèlement, je suis aussi styliste. Je crée une ligne de vêtements pour enfants. Dessiner une structure en tissu, cela rejoint l’architecture. En ce moment, j’essaie de regrouper tout ça, de rassembler photo et stylisme.

Pourquoi avoir rejoint Stéphane sur ce projet ? Rejoindre Stéphane dans son projet c'était d'abord rejoindre quelqu'un animé par une très forte volonté, par le désir qu’il a de voir aboutir son travail. Stéphane véhicule une énergie qui donne envie de le suivre. J'ai mis dans son projet tout mon savoir faire.

PARCE QU'AUCUN PROJET NE SE CONSTRUIT JAMAIS SEUL — c’est tellement vrai que, sans vous, sans votre mobilisation, Stéréo n’existera pas —  je vous invite à découvrir Kevin Konrath, l’homme orchestre du groupe. Guitare, clavier, batterie, Kevin joue, compose, invente, et sait aussi se fondre dans la couleur d’une proposition musicale pour créer de superbes arrangements. Je lui dois beaucoup. Il est le premier à m'avoir tendu la main. Sans compter les heures passées ensemble à bosser, à jouer et rejouer. Je ne l’en remercierai jamais assez… L'aventure STÉRÉO continue…

Kevin, quel est ton parcours jusqu’ici ? J’ai débuté les cours de musique lorsque j’avais 7 ans. J’ai pratiqué le piano et l’accordéon jusqu’à mes 10 ans. Trois ans plus tard (j’avais 13 ans), j’ai commencé à jouer de la basse dans un petit groupe de rock au collège. On jouait surtout des reprises. Au lycée, j’ai multiplié les collaborations. Je jouais dans trois groupes. Le premier avait plutôt un registre Latin-Jazz. Les deux autres étaient beaucoup plus rock. Après le Lycée j’ai décroché un BTS en audiovisuel. Aujourd’hui, je bosse en tant qu’intermittent pour France 3. En parallèle, je travaille pour le studio d’enregistrement Zouam Records en tant qu’ingé son. J’ai également été batteur du groupe Call me Cherry, que j’ai quitté il y a 1an.

Tes autres projets ? Je n’en ai qu’un. Je veux vivre de la musique, en tant que technicien ou musicien. J’y consacre tout le temps possible.

Pourquoi avoir rejoint Stéphane sur ce projet ? Parce qu’il a une imagination débordante pour composer des morceaux. Il a 1001 mélodies en tête, chantonnées, enregistrées avec les moyens du bord pour s’en souvenir. C’est incroyable. Je pense que chacune de ses idées musicales vaut le cout d’être explorée et travaillée pour en faire quelque chose de grand.

J’ai un problème : je me sens aussi bien dans un vieux marcel usé que dans un costume trois pièces. Celui qui m’a grandement aidé à faire le tri dans tout ça, c’est Thierry Jochum, le styliste de la bande. Ben oui, figurez vous que je ne passe pas mes journées en Perfecto, bras croisés, ou la tête penchée sur un fauteuil, l'air rêveur… Ces images, on les a bossées ! : ) J'ai donc écouté ses conseils les yeux grands ouverts. Car, si la qualité première de ce garçon, c’est d’abord son incroyable générosité, il est surtout d’une immense créativité… Ce type a plus d’un talent à son arc.

Thierry, quel est ton parcours jusqu’ici ?

Mon parcours commence par des études d'arts appliquées. J’aime l'art dans tous ses états. Lors d’un voyage à Vienne, je suis tombé amoureux des tableaux de Klimt et de Schiele. Diplôme en poche, je m'oriente vers la coiffure. Apprentis, avec trois francs en poche, je gribouille des toiles et propose des tableaux sur commande et sur mesure. Pendant ce temps, à travers le médium cheveu, je crée, des formes, des lignes, des sculptures capillaires. Je propose même des performances comme "Effet papillon", "Conflit" ou "Strange boxe" à la foire d’art contemporain de Strasbourg. Aujourd’hui, je me considère comme un artiste plasticien interdisciplinaire.

 

Tes autres projets ?

À travers mon métier d'artisan coiffeur, je m'amuse avec les volumes et les couleurs. Je travaille aussi pour l'image de la marque Kraemer à travers les collections et les créations de différents shows et performances. L'esprit de la sécession viennoise toujours dans un coin de ma tête, je travaille à lier l'art et l'artisanat.

 

Pourquoi avoir rejoint Stéphane sur ce projet ?

Parce que c'est beau, un homme avec des rêves. Parce que c’est beau d'avoir comme ami un homme qui se met en déséquilibre pour avancer et réaliser son projet ! Parce que j’ai envie de voir un talent récompensé. Parce que, à ma grande surprise (la musique était chez Stéphane un don pudiquement caché), j’ai entendu des sons qui m’ont donné des frissons ! Enfin, parce que j'ai envie de voir Stéphane en concert, l'écouter à la radio ! Vraiment, écouter, fermer les yeux, et laisser sa musique nous emporter.

Comme dans la vie on ne réussit jamais quoi que ce soit seul (Si c’était le cas, My Major Company n’existerait pas !), j’ai décidé de vous présenter toutes celles et tous ceux qui ont travaillé sur ce projet et qui continueront à travailler dessus si nous parvenons à réunir les fonds nécessaires. On commence par François, alias DiFRACTO. Les sons électroniques, c’est lui… Et bien entendu, le titre Amoureux lui doit beaucoup !

DiFRACTO

Ton parcours ? J’ai étudié le saxo pendant 8 ans. Puis je suis passé à la basse et j’ai rejoint un petit groupe de rock. Vers 15 ans, j'ai découvert les logiciels de MAO (Musique Assistée par Ordinateur). Le monde de la musique électronique m'a tout de suite énormément passionné. Ce que j’aime, c’est cette infinité de possibilités sonores et musicales. Depuis, je créé et bâti mon propre univers en essayant de retranscrire, de la manière la plus juste possible, ce que j'ai dans la tête.

Tes autres projets ? Je joue en parallèle dans un groupe de Soul-Rock qui se nomme Call Me Cherry.

Pourquoi avoir rejoint Stéphane sur ce projet ? Parce qu’il a une sensibilité musicale qui me touche beaucoup. Je m'y retrouve bien. Et nos univers sont vraiment complémentaires.

La collecte démarre, l'aventure My Major Company débute. Rendez-vous dans 60 jours…